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Passant sur la page de beperfect.be présentant des photo de Sébastien NAGY j'ai trouvé très symbolique l'image en bannière d'entête.
Où va le dialogue, où va la discussion, où va le commentaire, que devient l'argument si l’expression n’est plus commune dans les réseaux dits sociaux regroupant des personnes de classes d’âge et de cultures diverses ?
Voici par exemple une réponse reçue (illustration droite) à un placard de ma part, un peu rageur je dois dire (à cause la couleur…, illustration gauche).
En fait j’ai compris que l’écho de droite à ma proposition de gauche n’avait pas grand-chose à voir avec l’ambiance de rouspétance que j’ai contre une époque révolue (chasser pour vivre) ou contre un pseudo fondement philanthropisé d’une gestion de la nature où l’on ne voit les sangliers que juste avant la période de chasse jusqu’à juste juste après. [Le reste du temps (hors période de chasse) ils vaquent à leurs occupations, faisant à l’occasion des dégâts qu’on est en droit de soupçonner comme multipliés en période de chasse par des appâts qualifiables peut-être de justificateurs. Bref, là n’est pas le débat…]
Voilà un pied d'amandier sur la commune d'Issirac (mais c'est généralement la même chose ailleurs et aussi pour oliviers, abricotiers, cerisiers, etc.). Le jeune scion planté est protégé des rongeurs à la plantation et cela reste souvent en place... Mais c'est que l'arbre grossit, le bougre, il ose !!! Il grossit à s'en faire péter la sous-ventrière. Au fil du temps il finit même par se débarrasser de cette chaussette inesthétique.
Comme Jacques a dit (non pas le grand, l'autre, au nom prédestiné pour ce sujet, Prévert) :
« Et le vent du Nord les emporte
Dans la nuit froide de l'oubli la nature !!! »
Oublié peut-être mais sans justement se faire oublier.
Qu'importe le sens du vent... le résultat est toujours le même, la nature s'emplastifie !!!
L'agriculture laisse du mauvais vert là où il n'a rien à faire, et prend un peu trop les verts (écologistes) pour des enquiquineurs !
L'heure ne semble pas être à la décroissance... On annonce pourtant une volonté, enfin une intention, enfin l'idée d'une nécessité de changer quelque chose.
Mais quoi ?!!!
Pas grand-chose, sauf si on trouve le moyen que cela rapporte des finances, que cela fasse tourner les usines, que cela allèche les consommateurs.
Ici on ne peut parler ni de conscience écologique, ni de gestes écologiques ; c'est ce qu'on appelle du green-washing, ou, pour parler français, une façon de s'afficher en vert sans l’être dans le fond, une petite éthique mesquine pour les fonds.
Hier je nourrissais les équidés de ma fille... bref ! Les mouches harcelaient et irritaient les pauvres bêtes. Je me suis dit :
"Depuis le temps que les mouches et autres moustiques embêtent les animaux et les humains, pourquoi la sélection naturelle n'a-t-elle pas permis que les corps sachent exhaler une protection, pas forcément un insecticide mais plutôt une barrière ? Oui, vraiment, pourquoi ? ... Je vous pose la question, Charles.
Je m'interroge sur la place grandissante que prennent les neurosciences dans l'époque actuelle:
Les neurosciences permettent de disséquer de façon non intrusive les "activités" du cerveau pour en savoir plus sur sa place dans l'organisation vivante, et cela surtout chez l'humain. Elle permettent de révéler ce qui était non visible jusqu'à l'avènement des techniques d'imagerie ou plutôt des technologies d'imagerie.
Ces technologies sont issues des potentialités offertes pas la connaissance de la matière et de la matérialité, capable d'offrir des réponses quand elles sont soumises à des forces extérieures.
A peine la COP 27 terminée je suis retombé sur une vieux mail comportant un propos inquiétant et concernant la COP 26 : lire ici. Ce message nous parle des SFN... pour Solutions Fondées sur la Nature. Wikipédia évoque le chose dans un article dédié : Solutions fondées sur la nature
Vous savez tout... Voilà sans doute le billet de blog le plus court que je n'ai jamais fait. Mais je ne saurais en rester là... La relation de l'humain avec la nature ne me laisse pas indifférent, et le sujet du titre me pousse à partager quelques réflexions.
Tout est dit dans l’image…
Eh oui, on nous parle sans cesse de gaz à effets de serre, mais ils ne sont pas les seuls à participer au dérèglement, que j’appelle depuis des années chaos climatique. Il y a d’autres facteurs comme par exemple toutes nos substances chimiques distribuées à doses infinitésimales mais pondérables (puisqu’on en connaît généralement les sources, la stabilité chimique, etc.). Tout est question de chaleur dans ce chaos, de chaleur agissante sur les masses d’air et sur l’humide terrestre.
Toutes nos activités dégagent de la chaleur, et la chaleur n’est pas recyclable, pas renouvelable. On la consomme en permanence : tout style d’énergie se dissipe immanquablement en chaleur d’une manière ou d’une autre. On rayonne, tout le monde rayonne, en permanence.
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Science et Société du 5 mars 2011