En fait, là où nous devrions observer un signal plat aux erreurs de sensibilité de mesure près comme ci-dessous (image 1 trace rose CH4), nous obtenons parfois une anarchie (image 1 trace verte CH3), de temps en temps un festonnage plus ou moins régulier (image 1 trace bleu CH2) parfois une instabilité brutale (image 2) parfois un chaos qui s'amorce ou s'apaise (image 3).
Nous travaillions alors sur de hautes impédances avec amplification opérationnelle de coefficient 1 (!) (image 4 ci-dessous) ce qui pourrait laisser supposer que l'amplificateur est responsable. On sait aussi depuis quelques années se passer de l'amplificateur et travailler avec des impédances moins hautes (toutes les traces vertes et bleues sans mention AOP) en obtenant des allures similaires (relèvent-elles exactement du même agent ?...).
En regardant ces images on peut percevoir quelque chose de frappant ; c'est un discours continu qui est tenu, sans redondance ; les similitudes pour un même capteur ont de grandes chances d'être exceptionnelles.Pour finir voici un enregistrement point par point datant de mars 2011. Malheureusement pour nous, ce jour-là, un seul capteur était en observation...
Les autres enregistrements n'ont jamais fait état de pareille corrélation comme ici en se terminant sur un phénomène physique planétaire aussi manifeste ! Par exemple autour du 11 nov. 2019 :
Il est difficile de ne pas voir dans ces images une corrélation mais elles vous montrent aussi que si certains capteurs peuvent pressentir quelque chose, d'autres semblent ne pas le faire ou peut-être en déphasage.
On a parfois des allures très mathématiques...
Malgré toutes nos années d'observation rien ne se dessine encore dans la compréhension du capteur pourtant très loquace... Quel agent encore inconnu est-il actif en permanence sur notre simple montage expérimental ?